Le conseiller, le mandataire ou le négociateur sont des termes qui signifient le même statut. Ce sont des agents commerciaux immatriculés au Registre Spécial des Agents Commerciaux et qui opèrent sous la responsabilité d’un agent immobilier grâce à une attestation d’habilitation.

L’agent immobilier, quant à lui, peut travailler seul grâce à sa carte professionnelle (carte T pour Transaction immobilière, carte G pour Gestion locative et carte S pour Syndicat de copropriétés) qu’il obtient sous conditions et qu’il lui permet, par exemple, de rédiger et faire signer un compromis de vente à ses clients (contrairement au négociateur qui opère cette étape directement chez le notaire).

Dans les agences locales d’aujourd’hui tout comme dans les réseaux de mandataires, le principe est le même : le dirigeant de l’agence ou du réseau détient une carte professionnelle qui lui permet de recruter des conseillers immobiliers indépendants. Le statut de salarié est de moins en moins utilisé notamment dans les agences locales.

J’utilise cette appellation pour montrer que mes services vont bien au delà de mon métier. J’accompagne et je conseille des particuliers et des professionnels sur des décisions importantes, sur des choix de vie. C’est une relation de confiance qui nous lie par les nombreux échanges que nous abordons ensemble.  Cette relation est basée sur des valeurs communes très fortes liées au registre de la famille.

Ne pas faire appel à un conseiller immobilier pour l’intermédiation est le début d’un paradoxe fort. D’un côté, nous avons un vendeur qui justifie son choix de ne pas être accompagné pour des raisons financières (il veut vendre le plus cher possible) et en face, de l’autre côté, nous avons des potentiels acquéreurs qui souhaitent payer le moins cher possible. Nous constatons que la situation est délicate, surtout quand il s’agit de projets de vie.

Aujourd’hui, plus de deux ventes sur trois sont réalisées avec l’aide d’un professionnel de l’immobilier. Cela apporte de la sérénité et de l’efficacité dans le projet, un gain de temps et parfois même une certaine rentabilité.  Passer par un professionnel de l’immobilier, c’est aussi sécuriser son projet administrativement et juridiquement : chose infaisable entre particuliers.

Le conseiller immobilier doit être une personne de confiance :

• Pour comprendre votre projet et vos objectifs
• Pour estimer en toute objectivité la valeur de votre bien afin de le mettre en valeur ensuite
• Pour vous expliquer le marché dans lequel vous vous trouvez
• Pour être conseillé(e) et sécurisé(e) grâce à une réelle expertise
• Pour optimiser la vente notamment par une communication efficiente et des outils professionnels
• Pour qualifier les acquéreurs potentiels et organiser les visites
• Pour vous accompagnez dans les démarches administratives et juridiques
• Pour vous faire bénéficier de son réseau important de partenaires (notaire, géomètre, architecte, comptable, artisan, avocat…)
• Pour vous guider dans toutes les démarches immobilières du quotidien

Les tarifs des agences ou des réseaux immobiliers ne sont pas pas réglementés. Seule l’obligation d’affichage des honoraires maximum existe. Deux types de tarifs s’appliquent généralement : le pourcentage sur le montant de la vente (souvent dégressif) ou le forfait.

Vous pouvez entendre (et même penser) que les honoraires sont souvent élevés mais que met-on en face de cette rémunération ? Si nous considérons qu’un agent immobilier donne un tarif, rédige une annonce, pousse quelques portes et fait signer : il faut bien reconnaitre que la tarification est importante. Maintenant, si nous prenons le conseiller immobilier qui passe du temps avec vous (et pas seulement) : pour comprendre votre projet, visiter et décortiquer le bien, analyser la documentation (acte de propriété, servitudes, contrat constructeur, assurances…), réaliser une étude de marché, mettre en place une stratégie de communication physique et digitale, qualifier les potentiels acquéreurs (car chacun d’eux a aussi un projet et des objectifs), faire visiter (re-visiter), mettre en relation les notaires, communiquer à chaque instant auprès de toutes les parties prenantes, gérer le financement des acquéreurs, gérer l’administratif (notaire, mairie, professionnels…), gérer les agendas de chacun, rassurer, sécuriser, gérer les problématiques… La rémunération est-elle davantage plus équilibrée ?

A titre personnel, bien sûr qu’une relation d’argent existe entre mes clients et moi mais en aucun cas, je veux qu’elle soit omniprésente. Je base les relations avec mes clients exclusivement sur la confiance réciproque. Ils doivent avoir confiance en mon expertise et mon conseil comme je peux avoir confiance en eux dans nos échanges. Je ne travaille jamais sans confiance.  

Lien des honoraires du réseau SAFTI avec lequel je suis en partenariat :  https://www.safti.fr/bareme

C’est une remarque que vous pouvez entendre ou que vous avez peut-être même prononcé. Il serait intéressant de comprendre pourquoi.

Il existe, en effet, plusieurs réponses dont une qui revient majoritairement : une mauvaise expérience passée (pour soi-même ou un proche). Dans les dernières études, il apparait que le premier reproche fait aux professionnels de l’immobilier est la communication : « il était très présent jusqu’à la signature du mandat puis plus rien, plus de nouvelles… ». Effectivement, comme dans n’importe quel secteur, certains acteurs n’ont pas un comportement approprié et leur idée, qui consiste à faire du mandat le Saint-Graal, est totalement fausse. Le mandat n’est qu’une contractualisation d’une confiance réciproque. Il ne peut intervenir qu’après échanges constructifs et seulement dans certaines conditions

Notre rôle est d’accompagner et de conseiller tout au long du processus et davantage. C’est un vrai plaisir et une réelle fierté d’accompagner aujourd’hui mes clients dans leurs projets immobiliers tout au long de leur vie. Mon engagement va au-delà de la vente avec un vrai service après-vente.

Une estimation précise vous permet de vendre rapidement tout en maximisant le prix de vente. Dans des communes comme Avanne-Aveney et Rancenay, où le marché immobilier est influencé par la proximité de Besançon, fixer un prix adapté dès le départ attire plus d’acheteurs. Une mauvaise estimation peut entraîner des mois de stagnation ou des négociations difficiles. En tant qu’agent immobilier local, je m’appuie sur des données récentes, des ventes réalisées et une parfaite connaissance des spécificités du secteur (Aveney n’est pas Avanne par exemple…) pour vous fournir une estimation réaliste et argumentée.

Le secteur d’Avanne-Aveney, Rancenay et Besançon Velotte attire des profils variés : familles et retraités notamment, ainsi que des investisseurs. Pour sortir du lot, il est indispensable de mettre en avant des points forts comme l’environnement calme, les accès rapides à Besançon et les infrastructures locales (écoles, commerces, transports). Une présentation soignée du bien avec des photos professionnelles, des annonces optimisées (exit les listes de caractéristiques) et une stratégie de marketing ciblée (comme les réseaux sociaux et des campagnes locales) peut également faire la différence. C’est là où mon expertise entre en jeu.

Contrairement à un grand réseau national déconnecté des réalités locales, un agent immobilier implanté dans le secteur connaît précisément les attentes des acquéreurs potentiels, la dynamique du marché et les prix pratiqués. Mon rôle est d’accompagner chaque étape du processus, de l’évaluation initiale à la signature finale, avec une connaissance approfondie des spécificités d’Avanne-Aveney, Rancenay et des quartiers proches comme Besançon Velotte.

Lors d’un achat immobilier, en particulier dans des communes historiques comme Rancenay et Avanne-Aveney, il est crucial de vérifier de nombreux points. Outre l’état général du bien (toiture, isolation, chauffage…), les diagnostics techniques (DPE, amiante, termites…), il est important de vérifier certains éléments urbanistiques (préemption, zone inondable, zone « Abords des Monuments Historiques », terrain constructible…). Notons aussi la présence de bâtisses historiques dans les anciens bourgs, comme Avanne par exemple, avec parfois des reliquats techniques ou juridiques du passé qui refont surface. En tant qu’expert du secteur, je vous accompagne dans cette analyse pour éviter les mauvaises surprises et valoriser votre projet.

Vous devrez préparer plusieurs documents, notamment le titre de propriété, les diagnostics immobiliers obligatoires, les relevés de charges si votre bien est en copropriété, le dernier avis de taxe foncière… et encore d’autres. Ces documents permettent à l’acquéreur de faire un choix éclairé et de constituer un dossier complet pour votre passage chez le notaire. Lors de nos rendez-vous, je vous guide pour rassembler ces documents rapidement et sans stress.

La rentabilité dépend du prix d’achat, des travaux éventuels et des loyers espérés. Par exemple, à Avanne-Aveney, un appartement de 70 m² peut générer un rendement brut de 5 à 7 %, en fonction de son emplacement et de ses prestations. J’utilise des outils et des données actualisées pour vous fournir une projection détaillée et fiable avant tout achat.

Nos communes connaissent une demande croissante en raison de leur proximité avec Besançon et leur cadre de vie agréable. Le marché est dynamique, en particulier pour les pavillons individuels avec extérieur et les biens récents bien isolés. Le prix moyen au m² pour une maison se situe aux alentours des 2 473€, mais cela varie en fonction de l’état du bien et de sa localisation précise. En tant qu’expert local, je suis en mesure de vous fournir des données actualisées et d’anticiper les tendances à venir.